Parmi les animaux intelligents qui peuplent les continents et les océans de la Terre, les poulpes sont certainement les plus insolites.
Contrairement aux grands singes, aux dauphins, aux éléphants ou encore aux corbeaux auquels on reconnait des aptitudes cognitives supérieures, les poulpes ne sont ps des vertébrés mais des mollusques, comme el sont les escagots ou les huîtres …
Et pourtant, ils sont capables de résoudre des problèmes, d’effectuer des calculs, de progresser dans des labyrinthes.
Pourtant, contrairement aux autres animaux auxquels on reconnait de l’intelligence, ils n’ont aucune vie sociale, qui faciliterait la consolidation des connaissances, l’apprentissage, la transmission des savoirs. Leur vie est courte, et lorsqu’ils meurent ce qu’ils ont appris disparait avec eux.
Jusqu’où iraient-ils s’ils vivaient plus vieux et s'ils étaient capables de transmettre leurs connaissances à leurs congénères ?
Bâtiraient-ils une société technologique ?
Le roman Le Dieu des Poulpes s’aventure dans ce débat…